La décision concernant le choix du carburant pour votre flotte est essentielle pour optimiser vos coûts totaux sur le parc. De nombreux gestionnaires de flottes optent pour des sources d’énergie bénéficiant d’avantages fiscaux et environnementaux. Parmi les différentes alternatives, l’essence prend progressivement le pas sur le diesel, représentant 32% des véhicules immatriculés en 2023. L’électrique est aussi de plus en plus plébiscité par les gestionnaires de parc. C’est pourquoi, il est essentiel d’examiner attentivement les avantages et les inconvénients de l’essence pour optimiser votre parc automobile.

Quels sont les avantages et les inconvénients de l’essence ?

L’essence peut être une alternative aux véhicules diesel

Bien que le diesel soit souvent privilégié pour les trajets longs, les véhicules essence se positionnent comme un choix de carburant plus avantageux pour les gestionnaires de parcs.

En effet, l’essence présente des avantages sur le plan économique et écologique par rapport aux véhicules diesel. Le coût total des véhicules essences tend à être plus intéressant. Mieux valorisé par les loueurs, il se traduit par des loyers mensuels moins chers.

De plus, ces véhicules bénéficient d’une meilleure fiscalité, leur permettant de bénéficier de la vignette Crit’Air 1. Cela leur permet de circuler sans restriction dans toutes les Zones à Faible Émission (ZFE). En adoptant l’essence, les entreprises peuvent ainsi réaliser des économies tout en contribuant à réduire leur empreinte carbone, qui demeure inférieure à celle des véhicules diesel.

Pourquoi devriez-vous privilégier l’électrique plutôt que l’essence ?

Les véhicules essence présentent de nombreux avantages mais ils ne suffisent pas au verdissement des flottes actuellement en progression. Pour aller plus loin sur l’électrification de votre parc automobile, vous pouvez opter pour des véhicules électriques ou hybrides rechargeables.

En effet, les véhicules essence n’entrent pas dans les nouveaux quotas de renouvellement imposés en 2024 par l’État sur le renouvellement des véhicules sur les parcs de plus de 100 véhicules.

Depuis le 1er janvier 2024, 20% de vos renouvellements doivent être des véhicules émettant moins de 50 g/km de CO2. Ces quotas seront progressivement augmentés, passant à 30% à partir du 1er janvier 2025, à 40% à partir du 1er janvier 2026, et enfin, à 50% à compter du 1er janvier 2027.

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